Ayant pratiqué le droit de la protection de l’enfance pendant plusieurs années, les avocats de Gatineau sont extrêmement alarmés par la crise de la maltraitance qui est apparue au cours de la pandémie que l’on a laissée se développer sans contrôle. Le pendule est passé à l’extrême pour maintenir à tout prix les parents stressés auprès de leurs enfants. Et ce, alors qu’il est avéré qu’en période de stress parental, l’incidence des abus augmente.
La pandémie a entraîné un stress financier, des maladies mentales, une augmentation de la consommation d’alcool et de drogues, un isolement social, un surpeuplement des foyers et des interactions négatives avec les enfants. De nombreuses familles vivent le traumatisme d’une maladie grave ou de la perte d’êtres chers, y compris des amis et des membres de la famille, en raison du COVID-19. Ce traumatisme est aggravé par l’annulation de rituels, comme les funérailles, et la réduction ou la suspension des rassemblements religieux et des groupes de soutien au deuil. Les enfants sont plus actifs en ligne, ce qui augmente le risque d’exploitation sexuelle et d’intimidation en ligne. Si vous avez des problèmes en droit, les avocats de Gatineau peuvent vous aider.
Pourtant, les statistiques montrent qu’il y a en fait une diminution des cas d’abus signalés. Ces statistiques sont trompeuses. La diminution des cas signalés est le résultat direct de la réduction des contacts entre les enfants et les personnes qui pourraient les protéger. (par exemple, les enseignants, les garderies, les entraîneurs sportifs, les groupes communautaires, les médecins, les voisins, les grands-parents, les amis). On peut conseiller aux travailleurs sociaux, ainsi qu’à d’autres professionnels de la santé de réduire au minimum les services non essentiels qui impliquent un contact direct avec les familles. Beaucoup trop d’enfants sont laissés avec leurs agresseurs. Si vous avez des problèmes en droit, les avocats de Gatineau peuvent vous aider.
Les avocats de Gatineau de protection de l’enfance sont confrontés à des ressources limitées, avec moins de travailleurs disponibles, ce qui les empêche d’effectuer des visites à domicile dans les régions où il existe des ordres de rester à la maison. Comme les enfants ne vont pas à l’école, les enseignants et les conseillers scolaires ne sont pas en mesure de déceler les signes d’abus et de les signaler aux autorités compétentes. En outre, de nombreuses familles à risque n’ont pas accès à la technologie dont les enfants ont besoin pour rester en contact avec leurs amis et leur famille élargie. Si vous avez des problèmes en droit, les avocats de Gatineau peuvent vous aider.